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Circuit au Maroc : découverte de la cuisine traditionnelle
Circuit au Maroc : découverte de la cuisine traditionnelle
Village Berbère, gorge du Dadès. Photo de Pierre lors d’un circuit au Maroc.

Découverte de la cuisine traditionnelle

lors d’un circuit au Maroc.

 

Circuit au Maroc : découverte de la cuisine traditionnelle
Petits restaurants sur la place Djema El Fnaa. Photo de Daniel lors d’un circuit au Maroc.

Lors d’un circuit Planète Découverte au Maroc  que j’ai eu la joie d’accompagner, je fus amené à goûter un plat délicieux ?

Si l’évocation de senteurs et d’odeurs nous rappelle des moments ou des lieux, le goût peut tout autant peut nous remémorer d’excellents instants de plaisir.

 

 

Bien sûr on va dans ce pays haut en couleur, pour admirer ses paysages d’une grande diversité, des sables du Sahara aux monts enneigés de l’Atlas; pour flâner et s’émerveiller dans ses splendides villes impériales avec ses palais grandioses et ses décors dignes des mille et une nuits; pour ressentir l’ambiance des médinas et les senteurs d’épices des souks; pour découvrir le charme des villages berbères de montagne ou encore aller à la rencontre de ses  habitants à l’hospitalité légendaire.

La cuisine reste également une des attractions principales du Maroc. Il y a bien sûr les succulents couscous, les savoureux tajines, les délicieuses pâtisseries, mais, pour moi, une rencontre gustative des plus importantes fut la Pastilla au pigeon ! Ce met est incontestablement l’un des summums du raffinement et de la finesse de la cuisine marocaine. C’est un plat de fête, servi en entrée pour les grands dîners ou les cérémonies, souvent accompagné de salades composées. Il existe également d’autres pastillas comme celle aux fruits de mer, ou à la Kefta par exemple; mais la pastilla la plus traditionnelle et probablement la plus ancienne se prépare à base de pigeons (qui peut être remplacé par du poulet).

Circuit au Maroc : découverte de la cuisine traditionnelle
pastilla aux pigeons.

Le groupe et moi avons dégusté une pastilla au pigeon, dans un petit restaurant typique de Fès que je serai heureux de vous faire connaitre lors de votre prochain voyage au Maroc. Comme nous, vous succomberez à la tentation et vous serez envouté à chaque bouchée par ce mélange délicat et doux, légèrement épicé, de cannelle, de fleur d’oranger, de miel et des éclats d’amandes avec de tendres morceaux de pigeons, le tout enrobé dans des feuilles de bricks fines et légères qui prennent une jolie couleur dorée après la cuisson !

 

 

Alors qu’attendez-vous pour nous suivre au Maroc?

 

Pierre

Circuit Bhoutan-Sikkim-Népal, les royaumes himalayens récit de notre accompagnatrice
Mont Kanchenjunga, vue sur le circuit Bhoutan-Sikkim-Népal, les royaumes himalayens.
Mont Kanchenjunga, vue sur le circuit Bhoutan-Sikkim-Népal, les royaumes himalayens.

Circuit Bhoutan-Sikkim- Népal, les royaumes himalayens. Récit d’une accompagnatrice Planète Découverte dans lesespaces magiques et encore préservés himalayens lors d’un voyage en 2012.

Première partie :  Darjeeeling

Nous sommes partis en petit groupe pour un superbe voyage dans les Royaumes Himalayen.

Après une escale à Delhi, nous nous sommes posés sur les contreforts de l’Himalaya,  à Darjeeling, au nom évocateur d’exotisme et de thé parfumé ! Darjeeling fût la résidence d’été des riches Anglais de Calcutta au temps du Raj britannique et elle a su conserver son charme d’antan.  Dès le lendemain, nous avons eu le plaisir d’assister au lever de soleil, sur la chaîne himalayenne et en particulier sur l’imposant Kangchenjunga (8575 m), le 3e plus haut sommet du monde.

 

Ramassage de thé près de Darjeeling
Ramassage de thé près de Darjeeling

À Darjeeling, il faut visiter une plantation de thé, bien sûr ! Alors nous sommes allés à la  «happy valley estate» où nous avons vu les ramasseuses de feuilles revenir des champs avec leur panier en osier. À la boutique, on ne trouve que des Anglais et des Allemands, car le thé de cette plantation bio est revendu dans les magasins chics tels qu’Harrods et nombreux sont les amateurs qui viennent l’acheter ici lors de leur visite dans la capitale du Bengale occidental.

Le «Darjeeling Himalayan Railway» sur le circuit Bhoutan-Sikkim-Népal, les royaumes himalayens
Le «Darjeeling Himalayan Railway» au Sikkim

 

Un autre temps fort fut la montée à bord du train mythique «Darjeeling Himalayan Railway», classé au patrimoine mondial de l’UNESCO vers le monastère tibétain de Ghoom où Alexandra David-Néel résida avant d’aller au Tibet. Pour les «fans» de l’exploratrice, c’est là qu’elle a rencontré son fils adoptif, Yongden.

 

 

Darjeeling, Sikkim
Darjeeling, Sikkim

À Darjeeling, on peut faire la plupart des choses à pied, ce qui est très agréable, comme aller faire un petit tour dans le bazar très animé où l’on côtoie les différentes ethnies de cette partie de l’Himalaya : Lepchas, qui sont les plus anciens habitants de la région, Bhotias venus du Tibet, Népalais, Bengalis et réfugiés Tibétains; visiter l’ «l’Himalayan Mountaineering Institute» dédié à Tenzing Norgay (le Sherpa qui en compagnie de Edmund Hillary a été le premier à avoir vaincu l’Everest) ou faire une petite balade au zoo, pour voir les fascinants pandas rouges de l’Himalaya qu’on retrouve en liberté dans les forêts, mais … qu’on ne voit jamais !!!

Le Panda rouge, l'animal emblématique de notre circuit Bhoutan-Sikkim-Népal, les royaumes himalayens.
Le Panda rouge, l’animal emblématique de notre circuit Bhoutan-Sikkim-Népal, les royaumes himalayens.

Après Darjeeling, arriva le moment de prendre la route pour le Sikkim avec, en toile fond, les paysages enneigés himalayens. On traversa la petite ville de Pelling, on se dirigea vers Gangtok (l’actuelle capitale du Sikkim) à travers de magnifiques forêts de tecks, magnolias et frangipaniers. Gangtok est une ville assez étonnante, on n’a pas l’impression d’être dans un état indien, le maire a certainement dû faire une visite en Europe, car il a rendu le centre piétonnier (chose rare en Inde). Il est donc fort agréable de s’y promener, de se rendre au jardin des orchidées où encore à l’institut de tibétologie.

Depuis Gangtok, nous nous sommes rendus au monastère de Rumtek, siège officiel de Kharmapa, un des Lamas les plus importants dans la hiérarchie du bouddhisme lamaïste. Nous avons continué notre chemin à travers les collines où poussent rhododendrons et cardamomes pour la ville commerçante de Kalimpong. L’hôtel à Kalimpong est un excellent souvenir avec ses petits bungalows décorés en style tibétain, le tout dans une plantation d’orchidées. Une halte vraiment agréable qui a plu à tout le monde. Direction le Bhoutan !

 

L’aventure continue sur les routes du Bhoutan, dans les royaumes himalayens.  A suivre…

 

 

Circuit au Pérou, traditions du nouvel an.

Circuit au Pérou, traditions du nouvel an raconté

par notre accompagnateur.

 

Avec le petit groupe du «circuit sur mesure» de Planète Découverte, nous avons eu la chance d’assister à la préparation de la célébration du Nouvel An au Pérou, à Cuzco.

Circuit au Pérou, traditions du nouvel an
La place d’armes de Cusco

C’est l’occasion de vous souhaiter un « feliz año nuevo» ou en Quechua «Mosoi Watapi sumaj kausay kachun» depuis le Pérou.

Circuit au Pérou, traditions du nouvel an
Poupée de chiffon

Les Péruviens ont plusieurs coutumes et traditions pour ce passage d’une année à l’autre, par exemple, ils confectionnent des mannequins de chiffons ou de papier mâché appelé muñecos qui représentent l’année passée, ils seront exposés devant les portes des maisons jusqu’au 31 décembre et brulés à minuit le 31 décembre.

 

C’est aussi l’occasion, durant cette nuit, comme dans beaucoup d’endroits dans le monde, de faire exploser des pétards et feux d’artifice.

 

Circuit au Pérou, traditions du nouvel an
Sur les îes Uros

La tradition veut que la couleur que l’on porte pendant les 12 coups de minuits apporte de la chance dans le domaine qu’elle symbolise par exemple le jaune pour l’argent, le rouge pour l’amour, etc.

La coutume espagnole de manger 12 grains de raisin en faisant un vœu pendant les douze coups de minuit est également observée et on décore la table avec des corbeilles de fruits, de blé, de riz, de cannelle, de maïs et de fleurs jaunes.

 

Une autre tradition pour ceux qui souhaitent voyager, ils doivent courir autour de leur maison avec une valise ou un sac de voyage à la main à minuit pile! En tant que voyageur et guide accompagnateur, c’est ma coutume préférée, les participants du voyage au Pérou et moi, nous nous sommes promis de la mettre en pratique dès notre retour !

Circuit au Pérou, traditions du nouvel an
Vallée sacrée, Pérou

Découvrez notre site pour vivre de belles aventures et des moments forts, voyagez !!

 

Voyage au Japon, expérience de la civilité japonaise

Voyage au Japon, expérience de la civilité japonaise

Lors d’un voyage au Japon !

 

que j’accompagnais pour Planète Découverte, il nous est arrivé une chose peu banale.  À peine débarqués d’un ferry en provenance de l’île de Kyushu, et après les visites des sites majeurs de Tokyo et Kyoto, nous nous retrouvons, le petit groupe et moi, dans le hall de la gare de Yawatahama sur l’île de Shikoku, deuxième îles de notre voyage au Japon.

Paysage de l'île de Shikoku, voyage accompagné au japon
Paysage de l’île de Shikoku. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

 

Après une attente en file indienne et en bon ordre suivant l’usage local, nous embarquons dans le train «Limited express Uwaïkaï 24». Nous nous installons plutôt confortablement, pour admirer les paysages, tout en respectant scrupuleusement le numéro de nos places, pour un trajet d’exactement 52 minutes. Les trains ne sont pratiquement jamais en retard au Japon et c’est un bon moyen d’y voyager !

 

 

 

Voyage au Japon-ile sud-civilite japonaise-hall de la gare de Yawatahama
Décor étonnant dans le hall de la gare de Yawatahama. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

Nous étions partis depuis un bon quart d’heure quand un des participants de notre voyage au Japon («Le pays du soleil levant et ses îles du sud», vient me voir pour m’annoncer quelque peu affolé qu’il a oublié son petit sac de voyage qui ne contient rien de moins que ses papiers, son argent et autres effets indispensables à tous voyageurs ! Après lui avoir dit un peu perplexe, qu’il y avait certainement une solution, je m’en vais quérir la contrôleuse, en espérant qu’elle  aura une solution !

Je l’aperçois alors dans le wagon d’à côté et pars à sa rencontre. Nous nous saluons respectueusement comme il se doit au Japon et je lui explique, avec nos quelques mots et gestes communs, la situation «critique» dans laquelle se trouve un voyageur distrait. Elle m’accompagne vers le «passager distrait», le salue (bien sûr) et commence avec mon aide à lui poser des questions sur la couleur, la taille et autres signes distinctifs de son petit sac oublié. Elle se retourne ensuite vers moi et se lance dans une explication sur la façon dont elle va procéder dans sa quête du sac oublié. Explications dont je ne comprends pas tout à fait toutes les subtilités, mais en tout cas, on peut en déduire qu’elle a un plan pour retrouver le sac. J’explique au «monsieur distrait», appelons-le ainsi, que la respectueuse contrôleuse du train «Limited express Uwaïkaï 24» va téléphoner, se renseigner…  bref lancer des recherches.

Voayge au Japon-ile sud-civilite japonaise-Limited express train
Limited express train. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

Ce qui semble calmer, mais modérément, les inquiétudes du «monsieur distrait»!

De temps en temps, elle vient nous voir souriante et rassurante pour nous faire comprendre que les recherches avancent. Ce qui apporte chaque fois un vent d’espoir au monsieur distrait !
Peu avant d’arriver à la gare de notre destination du jour sur notre voyage, la contrôleuse vient nous trouver et nous invite à la suivre sur le quai. Nous descendons donc à suite. Et là, un étrange ballet se déroule devant nos yeux! La contrôleuse japonaise fend la foule d’un pas rapide et sautillant, sans oublier son sens du devoir et de la politesse, car, sans vraiment s’arrêter, elle prend le temps de répondre aux questions des nombreux Japonais sur le quai, car ceux-ci ont besoin de renseignements comme partout dans toutes les gares du monde, sans jamais oublier sa mission de nous guider vers un endroit qui reste encore pour nous mystérieux! Nous finissons par arriver devant un guichet, qui semble être le but de cette course sur le quai de la gare. Là, en peu de temps, elle dit quelques mots polis et explicatifs à la guichetière qui semble tout comprendre à la situation. Puis elle se tourne vers moi et me fait comprendre que la dame derrière le guichet va prendre le relais de la recherche du sac perdu, et elle s’en va retrouver son train, ses contrôles, ses passagers non sans quelques salutations, courbettes et sourires à la japonaise.

Voyage au Japon-ile sud-civilite japonaise-gare-Matsuyama
Sur le quai de la gare de Matsuyama. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

Un peu perplexes, nous voilà donc devant la guichetière, qui nous salue et nous annonce de but en blanc, que le sac oublié arrivera par le train de 20 h 32 et que l’on peut venir le récupérer ici même, ce soir ou demain !

L’efficacité nippone avait une nouvelle fois frappée, il en faudrait plus pour perturber notre voyage au Japon !!!

La contrôleuse du train avait appelé la gare de Yawatahama qui avait appelé la gare de Matsuyama pour lui indiquer qu’un employé de la gare de Yawatahama était allé voir s’il y avait un sac seul et abandonné dans le hall de la gare. Il était bien là, personne ne l’avait touché et encore moins volé! L’employé de la gare de Yawatahama avait mis le sac perdu dans le train suivant à destination de la gare de Matsuyama où nous devions descendre. Simple et efficace, comme souvent au Japon !

À 20h32, le sac est bien arrivé en gare de Yawatahama et son propriétaire rassuré et heureux a pu continuer son circuit en se jurant qu’il ferait plus attention la prochaine fois!

Voyage au Japon-ile sud-civilite japonaise
Vue du train, moyen de locomotion très utilisé lors de nos Voyage au Japon. Photo de Pierre sur notre circuit au Japon de 20 jours.

Il faut dire qu’au Japon le vol est inusité et il n’est pas rare de voir, lors d’un voyage au Japon, des Japonais laisser leurs sacs, valises, bagages… sans surveillance dans le métro ou dans les rues; de voir des vélos déposés nonchalamment devant une épicerie pendant que son propriétaire va faire une course. S’en dégage un sentiment très agréable de sécurité et de relâchement que l’on a perdu dans nos pays des soleils couchants ! À tel point que souvent lorsqu’un voyageur passe trop de temps en pays nippon, il risque d’éprouver à son retour une peur panique devant l’agressivité ambiante et le manque de savoir-vivre.

 

Partez au Japon avec Planète Découverte et découvrez nos voyages inédits et originaux comme «le pays du soleil levant et ses îles du sud»

 

Pierre B

« Voyage au Tibet, le train sur le toit du monde », de la Chine au Tibet.
voyage au Tibet, train Chine-Tibet
Sur le permafrost des plateaux tibétains, photo prise depuis le train qui traverse le Tibet. Photo d’Olivier sur notre voyage Chine-Tibet-Népal.

Voyage au Tibet, le train sur le toit du monde », de la Chine au Tibet : récit de notre accompagnateur lors d’un Voyage au Tibet, le train Chine-Tibet, dit sur le toit du monde au Tibet.

 

Fierté de la Chine, ce train, terminé en 2006, qui relie Lhassa, capitale du Tibet, à Golmund, Xinning et même Pékin n’est pas d’accès facile pour les étrangers . Car il a pour destination le Tibet !

voyage au Tibet, train Chine-Tibet
Gare de l’ouest à Xining pour le train vers le Tibet. Photo d’Olivier sur notre circuit Chine-Tibet-Népal.

Et croyez-moi, obtenir le permis d’entrée (visa Tibet) pour un voyage au Tibet n’est pas une mince affaire !

Déjà, il faut être un groupe d’au moins 5 personnes (1) et de même nationalité s’il vous plaît.  Ensuite…on patiente pour avoir en mains le fameux visa chinois… Enfin, il faut contacter une agence chinoise qui voudra bien vous obtenir le permis de voyager au Tibet et lui fournir l’itinéraire prévu (et ne surtout pas en changer !) ainsi que le scanne  de votre passeport. Mais attention, ces démarches sont à prévoir 3 semaines voire un mois avant la date prévue d’entrée au Tibet.

Alors et seulement alors, vous pouvez acheter les billets de train (ou plutôt les faire acheter…). Ceux-ci sont désormais nominatifs et portent aussi votre numéro de passeport… comme souvent en Chine !

voyage au Tibet, train Chine-Tibet
Nouveau quartier de la gare de l’ouest à Xining. Photo d’Olivier sur notre circuit Chine-Tibet-Népal.

C’était en octobre avec mon groupe lors de notre voyage qui va de Pékin à Kathmandu, au Népal, en traversant le Tibet que nous avons pris le train à Xinning (chef-lieu de la province du Qinghai), à la nouvelle gare de l’ouest, rappelant curieusement un hangar plutôt qu’une gare,  noyée dans une multitude de tours de 30 à 35 étages qui font maintenant partie intégrante du paysage de cette ville.

Au premier contrôle, on vous demande votre billet et votre passeport ainsi que votre permis d’entrée pour voyager au Tibet ou une photocopie, si l’agence qui vous l’a obtenu est au Tibet.

Passage des sacs au détecteur (comme dans toutes les gares en Chine) puis direction la salle d’attente. On a accès au train environ 20 min avant son départ, après un dernier contrôle des papiers et surtout du fameux permis tibétain…

Enfin, nous pouvons nous installer dans nos couchettes dites «molles» (première classe) en opposition aux couchettes dites «dures» (seconde classe). Rien de bien spécial ici par rapport aux autres trains chinois si ce n’est une prise O2 au-dessus de chaque couchette.

voyage au Tibet, train Chine-Tibet
Yaks sur le plateau tibétain depuis le train vers Lhassa. Photo d’Olivier sur notre voyage Chine-Tibet-Népal.

Il y a aussi un wagon-restaurant (comme dans la plupart des trains chinois), ça peut servir, il faut 24h pour gagner Lhassa depuis Xining !!

Notre voyage en train vers le Tibet commence et le train monte assez rapidement en altitude, sans qu’on s’en rende compte. On découvre de belles dunes de sable gris et ensuite le majestueux lac Qinhai.

Le train le longe un bon moment avant de faire place à la steppe, qui rappelle celle de la Mongolie. La nuit approche, on se couche tôt.

voyage au Tibet, train Chine-Tibet
Le majestueux lac Qinhai depuis le train qui va au Tibet. Photo d’Olivier sur notre voyage Chine-Tibet-Népal.

Au matin, le paysage est plus rude, froid, le permafrost est là, le train le plus haut de monde circule souvent surélevé. Le paysage gelé est magnifique, on est à une altitude de 4800m avec le passage d’un col à 5027m, c’est le Tibet !

On découvre des troupeaux de yaks, mais aussi de curieuses petites gazelles qui font penser à des vigognes de l’altiplano d’Amérique du Sud.

Voyage au Tibet, train Chine-Tibet
Soldat chinois saluant le train le plus haut du monde ! Photo d’Olivier sur notre voyage Chine-Tibet-Népal.

Les sommets enneigés font aussi leur apparition, spectaculaires, ils s’imposent maintenant en toile de fond…

On aperçoit des troupeaux de moutons, des villages tibétains, mais aussi des soldats saluant le train qui passe (!!!) à l’approche de Lhassa…

Nous arrivons à la gare de Lhassa au Tibet 24h et 1min après notre départ, personne n’a trouvé le temps long, tout le monde est ravi de cette expérience qui ne manquera pas de rester gravée dans nos mémoires un long moment, un moment fort de notre voyage au Tibet…

 

 

 

 

 

voyage au Tibet, train Chine-Tibet
Village tibétain sur la ligne Xinning-Lhassa. Photo d’Olivier sur notre voyage Chine-Tibet-Népal.

Vivez, vous aussi, cette aventure extraordinaire avec Planète Découverte et partez sur le toit du monde avec nos voyages au Tibet.

(1) depuis le 22 janvier 2013, le nombre de 5 personnes voyageant ensemble a été réduit à 3,les nationalité peuvent être maintenant mélangée suite à un communiqué du Tibetain Tourisme Bureau. (organisme qui délivre les permit de voyage au Tibet)

 

 

 

Olivier.