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À la découverte d’Aotearoa, «le pays du long nuage blanc»
Aotearoa!!!
Aotearoa

À la découverte d’Aotearoa,

«le pays du long nuage blanc»

 

C’est ainsi que la baptisèrent les premiers habitants des lieux, les Maoris. La légende veut que les premiers Maoris arrivant en pirogue depuis la Polynésie eurent comme première image de la Nouvelle-Zélande un long nuage blanc qui enveloppait l’île. D’où le nom qu’ils lui donnèrent.

Dotée d’un patrimoine naturel exceptionnel, mais aussi de valeurs et traditions qui ont traversé le temps malgré la colonisation européenne, la Nouvelle-Zélande n’est pas que le pays du rugby !

«La terre est une mère qui ne meurt jamais». Proverbe maori.
«La terre est une mère qui ne meurt jamais». Proverbe maori.

La Nouvelle-Zélande compte deux îles principales, très différentes l’une de l’autre, et ce à tout point de vue: celle du nord «l’île fumante», avec ses volcans et ses forêts subtropicales, et l’île du sud «l’île de Jade» très montagneuse avec ses pics enneigés et sa chaine de montagnes appelée «Alpes néo-zélandaises ».

Cette géographie singulière met en valeur les forces en présence, d’un côté l’océan dans toute sa puissance qui apporte avec lui des vents qui viennent de l’Antarctique (pas très éloigné, un peu plus de 2 000 km) et de l’autre une végétation luxuriante, un soleil subtropical. Autant d’éléments qui permettent de vivre 4 saisons en un seul jour, comme disent les « Kiwis » (surnom des habitants de la Nouvelle-Zélande) lorsqu’ils évoquent le climat de leur pays.

Sur l'ïle Fumante !
Sur l’ïle Fumante

Il existe donc de nombreuses raisons de se rendre au «pays du long nuage blanc», en voici quelques-unes:

Ses paysages étonnants et fantastiques, car peu de pays possèdent une telle diversité. On y trouve des volcans, des geysers et sources chaudes, des glaciers, des lacs cristallins où se reflètent les monts enneigés, des forêts aux essences rares ainsi que d’immenses plages de sable désertes…

 

Fous de Bassan (Ganets)!
Fous de Bassan (Ganets)

Sa faune: extrêmement riche et endémique, vous aurez l’occasion d’y voir des phoques, pingouins, albatros, cachalots, fous de Bassan et certainement même des dauphins … Dans ce pays où les espèces animales ont évolué en totale autarcie et sans grands prédateurs, certains oiseaux ont perdu l’habitude de voler entrainant une atrophie de leurs ailes. C’est le cas du fameux Kiwi, oiseau timide et nocturne qui se cache la journée, emblème de la Nouvelle-Zélande et surnom de ses habitants. Sans oublier les animaux importés comme les moutons, on en compte 60 millions soit 15 fois plus que de Néo-zélandais.

La pratique de toutes sortes de sports de plein air: la marche, l’équitation, le VTT ou même le saut à l’élastique !

Pour sa flore, tout aussi endémique: comme les Kapongas, sorte de fougères arborescentes autre symbole de la Nouvelle-Zélande que l’on retrouve sur le maillot des All Blacks ou encore les superbes Kauris, des arbres géants considérés comme sacrés par les Maoris…

 

Mais aussi et surtout pour ses chaleureux et sympathiques habitants : les ou le peuple autochtone, de la Nouvelle-Zélande.
D’une part les Maoris – les tangata whenua  ou le peuple « autochtone » – qui peuplèrent ces îles après leurs découvertes par le légendaire navigateur polynésien Kupe en 950. Les Maoris sont arrivés par vagues successives des îles Cook et des îles de la Société, du IXe au XIVe siècle. Ils s’opposèrent à la colonisation britannique lors des Guerres maories de 1842 à 1860. Ils sont aujourd’hui 730 000 (environ 15 % de la population néo-zélandaise).
Et d’autre part les Européens  – les Pakeha ou Papa’a – arrivés au XVIIIe siècle après l’exploration des îles Néo-Zélandaises par le Capitaine Cook en 1769. À ces deux groupes culturels dominants s’ajoutent des immigrés plus récents venant de Polynésie, des Indes ou de Chine.

Haka des All Blacks!
Haka des All Blacks

Bien sûr il existe toujours de grandes différences culturelles entre ces communautés, mais au-delà de leurs différences tous les «Kiwis» partagent le même respect de la nature, des loisirs de plein air et le goût du sport. L’équipe des All Blacks, qui a fait chaque fois vibrer le pays tout entier lors des coupes du monde de rugby, est un bel exemple de rassemblement entre ces communautés. Le rugby est dans ce pays la fierté de tout un peuple et un symbole d’unité entre les traditions maories et les règles apportées par les Britanniques, en témoigne le rituel du «Haka» avant les matchs de l’équipe nationale.

 

 

Légendes maories: le demi-dieu Maui aurait créé l’île du nord en la pêchant au fond des océans et son canoë pétrifié serait devenu l’île du Sud. Kupe le premier maori serait arrivé en 950 depuis Hawaiki, terre sacrée qui correspondrait à l’île de Raiatea près de Tahiti. Il nomma cette immense terre Aotearoa littéralement « le pays du long nuage blanc ».

 

L'île de Jade !
L’île de Jade

 

Planète Découverte vous propose un circuit complet à travers les 2 principales îles qui forment la Nouvelle-Zélande, pour découvrir ce pays aux paysages grandioses et stupéfiants de façon authentique et toujours en petit groupe (6 à 11 personnes maximum). Haere mai! (bienvenu)

Pierre

L’Australie pays de vin et de vignobles!

L'Australie pays du vin et des vignobles!

L’Australie pays de vin et de vignobles!

L’Australie est bien sûr connue pour ses kangourous de toutes les tailles, ses Koalas nonchalants, son grandiose opéra dans la baie de Sydney, son gros rocher rouge sacré (l’Ayers Rock/Uluru), son Out-back où l’on rencontre les véritables et rudes « Aussies !»… mais l’Australie, c’est aussi un pays de vins et de vignobles !

Uluru ou Ayers Rock
Uluru ou Ayers Rock

À l’origine, les Aborigènes d’Australie ne connaissaient ni la vigne ni le vin. Ils fabriquaient des boissons fermentées, à base de plantes ou de miel, qu’ils buvaient lors de cérémonies. Les premières vignes sont arrivées en Australie en 1788 en provenance du Cap de Bonne-Espérance dans les cales du navire du Capitaine Arthur Philip. Ce capitaine « œnologue » les planta solennellement à l’emplacement de l’actuel Jardin botanique de Sydney. Mais il faut attendre 1830 pour parler d’une véritable viticulture, époque à laquelle l’Écossais James Busby, considéré comme le père du vignoble australien (et également un des « fondateurs » de la Nouvelle-Zélande), va développer la viticulture et produire du vin dans la Hunter valley (Nouvelle-Galles-du-Sud) et dans la Barossa valley (Australie-Méridionale). En 1831, il fait un voyage en Europe pour recueillir des cépages (type de plant de vigne) principalement en France et en Espagne afin de bonifier le vignoble australien. Une des variétés collectées était la Syrah, que Busby appelle Scyras ou Shiraz. Ce cépage est devenu une des variétés les plus importantes en Australie. Encore aujourd’hui, le Syrah domine, bien qu’on trouve également en quantité importante du Cabernet Sauvignon, du Chardonnay, du Pinot noir, du Riesling et du Sémillon (liste non exhaustive!). Dès 1854, les Australiens réalisent la première exportation de vin vers le Royaume-Uni, qui a longtemps considéré l’Australie comme leur vignoble.

Vignoble du Sud de l'Australie
Vignoble du Sud de l’Australie

En Australie, le vin a longtemps été l’apanage de la grande bourgeoisie, la bière étant la boisson populaire par excellence. Il faut attendre la 2e guerre mondiale pour que le vin se « démocratise ». Aujourd’hui on trouve dans tous les pubs australiens, à côté de la bière, des vins rouges ou blancs. Les Australiens consomment en moyenne autour de 24 litres de vin par habitant par an, mais encore loin derrière les Français (premier consommateur avec en moyenne autour plus de 50 litres par habitant par an!).

La viticulture australienne a fait ses débuts voilà à peine un siècle et demi alors que l’Europe a deux millénaires de tradition dans ce domaine. Comme d’autres pays du Nouveau Monde, l’Australie apprend vite et progresse à pas de géant.

Les vins australiens, notamment les rouges, sont considérés comme des vins « pleins, corsés voir musclé, avec un goût du fruit, direct et sans détour ». En un mot, on peut définir ces vins comme « pleins de saveur »!

Les vignerons « Aussies » produisent un bon nombre d’excellents vins, dont quelques-uns de classe mondiale avec un degré d’alcoolémie de 13 à 13,5% vol. voir 14% vol. Cette haute teneur en alcool, qui n’est pas une exclusivité australienne, ne nuit aucunement à sa qualité.

Vignoble Australien près d'Adelaïde
Vignoble Australien près d’Adelaïde

Grâce à un bon marketing, une technologie de pointe et une très grande qualité,  les ventes de vins ont décuplé sur les marchés d’exportation ces dix dernières années. L’Australie est le sixième pays producteur derrière l’Italie et la France (qui se battent régulièrement pour la première place), l’Espagne, les États-Unis et l’Argentine, alors qu’en superficie elle possède que le 11e vignoble mondial (selon l’OIV, organisation du vin et de la vigne).

Il est à signaler que l’industrie vinicole australienne est extrêmement concentrée, car 80% du vin est produit par quatre sociétés viticoles importantes : Penfold’s, BRL Hardy, Orlando et Mildara Blass.

À noter aussi qu’il n’y a pas encore là, comme en Europe, de réel système d’appellation contrôlée bien que depuis 1993 les choses ont pris une tournure plus sérieuse sous l’égide de l’AWBC (Australian Wine and Brandy Corporation). Ainsi, sous le contrôle de l’AWBC, les vignerons doivent se soumettre au LIP (Label Integrity Program), un label qui s’efforce de garantir le millésime, le cépage et la région de production. Les vins sont aussi parfois identifiés par un numéro de cuvée (Vat ou Bin). Ils sont issus majoritairement de mélanges en provenance des diverses régions de production.

La législation, comparable à celle des États-Unis, tient en quatre points :

1) si l’étiquette mentionne une origine, au moins 80% du raisin doit provenir de cette origine;

2) si l’étiquette mentionne un cépage, le vin doit contenir au moins 80% de ce cépage;

3) si le millésime est indiqué, au moins 95% du raisin doit être de ce millésime;

4) si plusieurs cépages sont mentionnés, le cépage dominant doit être mentionné en tête, à moins que les deux cépages soient présents en proportions égales.

Dans ce système typique des pays du Nouveau Monde, les vignerons ont plus de liberté pour concocter des mélanges, que sûrement les organismes de contrôle européens réprouveraient… Le plus souvent cette pratique concerne les vins bon marché, mais les grandes maisons l’emploient aussi pour des vins de qualité, avec des résultats parfois excellents. Par exemple, un des meilleurs vins du pays est obtenu par mélange de cabernet du Coonawarra et de syrah de Barossa…

Vignoble de la Barossa valley
Vignoble de la Barossa valley

Alors, n’hésitez pas à partir avec Planète Découverte en Australie, pour visiter les vignobles et déguster ces étonnants et succulents vins australiens. À déguster avec modération bien sûr!

 

« En voyage, je regarde la carte des vins pour éviter les bouchons. » – Raymond Devos

 

 

Pierre

White Island, l’île apocalyptique!

 

Découverte de White island lors d’une excursion sur notre circuit en Nouvelle-Zélande de 3 semaines.

Longitude : 177° 78′ E
Latitude : 37° 52′ S
Altitude :  321 m

White Island est une île volcanique située à 26 miles nautiques (48 kilomètres) au nord des côtes néo-zélandaises . Elle se trouve dans la Baie de l’Abondance, une baie ouverte sur l’océan Pacifique Sud.

Afin de rejoindre White Island, avec des participants du groupe Planète Découverte en Nouvelle-Zélande, nous sommes partis tôt le matin de la ville de Rotorua pour l’héliport de Whakatane. Dès notre arrivée, on nous a expliqué les consignes et toutes les choses à savoir pour effectuer un vol en hélicoptère au-dessus de l’océan (en Nouvelle-Zélande on ne plaisante pas avec les consignes de sécurité!). Ainsi préparés et très informés, nous nous sommes rendu jusqu’à l’appareil, où l’on nous a harnachés, mis un gilet de sauvetage et un casque avec un micro pour pouvoir se parler entre nous pendant le vol. Après une bonne heure de ces préparatifs, fin prêts, nous avons pu décoller dans un bruit assourdissant vers White Island.

Nous nous retrouvons rapidement au-dessus du Pacifique et le spectacle tout autour de nous est absolument magnifique. Outre la vision de la terre au loin qui disparaît et celle de l’immensité de l’océan sous nos pieds (ou encore nos patins d’atterrissage!), on aperçoit au-dessus des petites vagues qui zèbrent la surface de l’océan, un banc de dauphins qui sautent et semblent jouer.

 

Au bout de vingt minutes de vol apparait au loin notre destination finale : White Island! Au fur et à mesure que l’on s’en rapproche, la vue est d’abord intrigante, puis étonnante, pour devenir ahurissante lorsqu’on survole l’île et que le pilote nous fait faire un ou deux tours complets.

Découverte de White island en circuit Nouvelle Zélande.
Whakaari. Photo prise par notre accompagnateur lors d’un circuit en Nouvelle-Zélande.

White Island est une petite île perdue dans l’océan de 5 km2 (2 kms de large sur 2,4 Kms de long), avec un sommet qui culmine à 321 mètres d’altitude.  L’île où nous allons atterrir, constitue la partie émergée d’un volcan sous-marin de 18 kms de diamètre, qui prend assise au fond de l’océan. En fait, elle est composée de deux stratovolcans superposés qui sont estimés vieux de 100.000 à 200.000 ans. La petite partie de l’île située au-dessus du niveau de la mer date, elle, de 16.000 ans environ.  Elle se trouve sur la zone de subduction entre la plaque pacifique et la plaque indienne, y sont alignés, les principaux volcans de Nouvelle-Zélande, Tongariro, lac Taupo…

L’activité volcanique de l’île se trouve actuellement sur une cote d’alerte de niveau 1, ce qui signifie que le volcan est toujours actif, la vapeur qui s’en échappe en témoigne. Ses éruptions sont de type strombolien; ce volcan émet des coulées de lave et des explosions qui peuvent entraîner un changement rapide de la topographie du cratère et du paysage environnant.

Pourquoi cette île s’appelle White Island?! Il n’y a pourtant pas grand-chose de blanc ici, ce serait plutôt l’île multicolore ou l’île fluo, à part peut-être le panache de fumée blanchâtre qui s’en dégage constamment! En fait, c’est le capitaine Cook (toujours lui, il est décidément partout dans le Pacifique, mais c’est une autre histoire!) qui a nommé cette île, l’île blanche. Il fût le premier Européen à apercevoir l’île en 1769, de loin sans y accoster et il ne se rendit pas compte qu’il s’agissait d’un volcan.

Pour les Maoris elle est connue sous le nom Whakaari ce qui signifie «qui a la possibilité de se rendre visible », nommée ainsi à cause de sa «tendance» à disparaître de la vue des côtes pour réapparaitre à l’horizon lors de fortes activités volcaniques. Son activité éruptive irrégulière a alimenté bon nombre de légendes chez les peuples maoris.

Découverte de White island en circuit Nouvelle Zélande.
White Island vue du ciel. Photo prise par notre accompagnateur lors d’un circuit en Nouvelle-Zélande.

Nous finissons par nous poser au milieu des coulées de lave multicolores et fluorescentes solidifiées. Nous sortons de l’appareil très impressionnés, tels des astronautes débarquant sur une autre planète! Il faut dire qu’en plus, nous sommes équipés en vulcanologue amateur. La tenue comprend entre autres un masque à gaz et un casque orange fluo qui se marie très bien avec les couleurs de la lave solidifiée d’ici!

Nous pouvons commencer l’exploration en suivant les consignes très strictes du pilote transformé en guide-vulcanologue. Nous devons le suivre pas à pas et mettre nos masques à gaz dès que le vent tourne et que la fumée des fumerolles chargées de gaz toxique nous submerge. Cela donne un spectacle assez comique, car en plein discours le guide doit s’arrêter de parler et mettre son masque à gaz, il nous faudra alors attendre quelques minutes pour avoir la suite des explications!

Découverte de White island en circuit Nouvelle Zélande.
Dégagement de Souffre sur l’île. Photo prise par notre accompagnateur lors d’un circuit en Nouvelle-Zélande.

Quel spectacle hallucinant, une vision d’un enfer psychédélique s’expose sous nos yeux, tout autour de nous. Au pied des 2 cratères nommés Donald Duck et Nellie Noisy (pas par le capitaine Cook cette fois!!!), se trouve un lac d’acide bouillonnant à la couleur verdâtre entourée de dépôts de soufre. Le paysage ressemble à un tableau abstrait, il est parsemé de cristaux de soufre jaune fluorescent qui semblent avoir poussé ici et de coulées orange, ocre et grise. Il faut dire que peu de végétation survit à cet environnement hostile et acide. Le volcan de l’île semble s’amuser à créer et à renouveler sans cesse son paysage apocalyptique et invraisemblable.

Découverte de White island en circuit Nouvelle Zélande.
Fumerolles. Photo prise par notre accompagnateur lors d’un circuit en Nouvelle-Zélande.

En contrebas, comme seule trace de présence humaine se dressent les ruines d’une ancienne usine corrodée par les gaz soufrés, témoin de la volonté de l’homme à vouloir maitriser la nature et de sa quête de profit à tout prix; mais encore une fois la nature a eu le dernier mot. En effet, une entreprise néozélandaise avait construit ici une mine de soufre, comme actuellement au Kawa Ijen en Indonésie. Mais en 1914, une paroi du cratère s’effondre et détruit la mine, ses infrastructures furent englouties par un énorme glissement de terrain, tuant les onze ouvriers qui travaillaient là, seuls survivants de la tragédie le chat du camp qui fut recueilli quelques jours après le drame par un bateau de ravitaillement. L’exploitation du soufre fut finalement totalement arrêtée en 1930.

Découverte de White island en circuit Nouvelle Zélande.
Ancienne coulée de lave. Photo prise par notre accompagnateur lors d’un circuit en Nouvelle-Zélande.

 

La balade qui dure environ 1heure 30 sur la planète White Island se poursuit à travers les nombreux jets de gaz et de vapeur, les sifflements, le bouillonnement du lac et les fumerolles acides qui fusent de toutes parts, tout cela avec une odeur de soufre quasi permanente.                                                                                                                                                                                                                                                                                       C’est une vision hallucinante!

 

 

 

Découverte de White island en circuit Nouvelle Zélande.
L’activité volcanique est toujours très forte. Photo prise par notre accompagnateur lors d’un circuit en Nouvelle-Zélande.

 

Et c’est avec regret et avec plein d’images extraordinaires en tête que nous devons rejoindre notre hélicoptère et quitter cette île étrange. Nous retournons donc avec l’émotion de ce spectacle fabuleux vers l’île septentrionale de la Nouvelle-Zélande pour continuer notre aventure au pays des Kiwis, des All Blacks et des paysages spectaculaires où l’enfer et l’éden se côtoient.

 

 

 

 

Pierre B