Livres
Guides de voyage
- Guide Petit Futé Madagascar, écrit par Arnaud Bonnefoy, excellent connaisseur, pas de langue de bois, beaucoup d’intelligence dans ses observations. Le meilleur guide pour Madagascar, à notre avis.
- Guide Olizane : très intéressant. Peu d’infos pratiques.
- Guide Gallimard : très bien illustré.
- Guide Lonely Planet, Routard, Evasion
- Carte IGN de Madagascar (très peu remise à jour)
Lectures
- L’Interférence, de Jean-Joseph Rabearivelo. Ed. Hatier
- Le Bain des reliques, de Michelle Rakotoson. Ed. Karthala
- On ne revient jamais de madagascar, de Paul Durand. Ed. Karthala
- Région inhabitée, de Robert Mallet. Ed. Gallimard
- Villa Vanille, de Patrick Cauvin. Ed. Lgf
- Rêves sous le linceul, de Raharimanana. Ed. Serpent à Plumes
- Madagascar, la musique dans l’histoire, de Mireille-Mialy Rakotomalala. Ed. Anako
- Thrènes d’avant l’aurore : Madagascar (poésie), de Rabemananjara Jacques. Ed. Présence africaine
- Madagascar. Les sortilèges de l’Ile Rouge, de François Lery. Ed. L’Harmattan
- Les oranges sauvages. Nouvelles de Madagascar, de Marie-Elisabeth Crépin. Ed. L’Harmattan
- La route des Indes. Vol I et II. d’Olivier Soufflet. Coll. Artisan Reporter, 2004.
Musique
- Disques faciles à trouver en Europe : Rossy, Jaojoby, Justin Valli, Bilo
- Disques difficiles à trouver, mais écoutables sur internet :
Jerry Marcoss, Tsiliva, D’gary, Dadah de Fort-Dauphin,
traditionnel : Mahaleo, Hazolahy
variété : Firmin, Lola, Jean-Aimé, Chila…
Petit lexique
- Oui : èka
- Non : tsìa (tsia)
- Bonjour : Salama
- Comment allez-vous ? : Manào ahòana (mana ouona)
- Au revoir : Velòma (vélouma)
- Excusez-moi/S’il vous plaît : Azafàdy
- Merci : Misàotra (misotch’)
- Il y en a : Misy (miss)
- Il n’y en a pas : Tsy misy
- Je n’en ai pas besoin : tsy mila
- Bon/mauvais : tsàra/ràtsy
- Bienvenu(e) : Tònga sòa
- 1 : réïk
- 2 : Roa (roua)
- 3 : Telo (télou)
- 4 : Efatra (éfat’)
- 5 : dimy
- 10 : Folo (foulou)
- 100 : zato (djatou)
- 1000 : arivo
Il y a évidemment d’infinies subtilités que vous pourrez sans doute entrevoir, comme la difficile prononciation du "tr" qui ressemble à "tch", celle du "s", qui devient "ch", le "o" qui se prononce "ou" (Ambositra devient Ambouchtr’, L’Isalo se prononce Ichal), la façon malgache d’alléger certains mots d’une lettre ou d’une syllabe (Misaotra, "merci", devient "sotr’), ou encore le son "é", qui peut vouloir dire oui, ou non, selon le ton, etc …
Vous trouverez toujours quelqu’un parlant français, même en brousse profonde : les anciens, qui ont fréquenté l’école avant la malgachisation de l’enseignement en 1975. Ou les plus jeunes : depuis 1993, la plupart des écoles ont repris l’enseignement en français. La malgachisation fut hélas un double échec : elle n’a pas permis le retour à la langue nationale et elle a handicapé toute une génération dans l’accès à l’université et à l’emploi.